bruleur 100% arisanal HVB !!!!!
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bruleur 100% arisanal HVB !!!!!
trouvé sur le net et bientot en costruction chez moi (je donnerai les rapports )
Révolutionnaire et tout simplement génial !!!
http://kidlogis.com/pmc/forums/viewtopi ... 241d8bfee6
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le zoursomobile : Citroën C25 turboD
Lechauffage , systeme solaire combiné (apport au fuel) , bientot 100% HVB!!!
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Salut , je vais utiliser un bruleur fuel mais virer la ligne de gicleur et la ventilation .
L'electrovanne sera alimentée par la sortie "préventilation" , le compresseur (de frigo!) sera alimenté par la sortie "electrovanne fuel" et l'allumage ainsi que la surveillance de flamme d'origine du bruleur juste en déplaçant les électrodes pas loin de la boule .
Le projet avance petit à petit mais j'ai pas trop le temps d'y bosser car je suis en pleine saison de ramonage
@+...
L'electrovanne sera alimentée par la sortie "préventilation" , le compresseur (de frigo!) sera alimenté par la sortie "electrovanne fuel" et l'allumage ainsi que la surveillance de flamme d'origine du bruleur juste en déplaçant les électrodes pas loin de la boule .
Le projet avance petit à petit mais j'ai pas trop le temps d'y bosser car je suis en pleine saison de ramonage
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retour d'info, FAQ :
1/ Quelle est la dimension de chambre de vaporisation, ou est elle placer et quelle doit être la température ?
La chambre de vaporisation est très petite cela se passe au ras de la boule dans le T, il est préférable que cette partie soit a l'extérieur de la chambre de combustion, elle doit être chaude mais pas de trop. L'huile qui coule sur la boule ne doit pas excéder les 100°c, à un température de 80 a 90 c fonctionne bien. Si tu utilise des huiles très épaisse sans émulsion d'eau la température peut être plus haute jusqu'à 140°c bien que ce n'est pas avantageux
La dimension de la chambre de combustion doit avoir un certain volume en fonction de la taille du brûleur et du débit des gaz qui sort pour pouvoir étirer la flamme donc un minimum a respecter mais cela peut marcher dans une chambre relativement petite.
2/ Le réacteur peut-il être simplifier, car comme il est dans la chaudière, le tube extérieur qui sert a canaliser les gaz chaud pour réchauffer le tube réacteur et son noyau n'à plus raison d'être puisque directement au contact de la flamme ?
Ce n'est pas un réacteur c'est un brûleur a boule. La flamme est concentré dans un tube sur une courte distance. Il n'y pas de noyau dans le tube, ce tube peu être mis dans le four (preferable) car il devient rouge il doit être rouge pour entretenir une flamme chaude et concentré.
3/ Par contre les gaz résultants ne s'enflamment t'ils pas dès la sortie, vu la température qui règne dans le foyer de la chaudière ?
La flamme démarre à la sortie de la boule elle est bleu avec de l'huile c'est le meilleur de l'huile qui se vaporise. la première et cette flamme bleu, le plus lourd se vaporise dans la flamme et fait une
flamme plus jaune. voir même blanche si tu brûle du mazout a bateau goudron liquide le dernier résidu du pétrole.
Ce n'est pas un réacteur ni un gicleur c'est une boule creuse. l'huile coule dessus passe devant une fente et elle est pulvérisé par un jet d'air.
4/ Peut-on parallèlement injecter de l'eau par le même chemin et séparément du fuel ou doit on le mélanger avant l'injecteur ?
Tous les tests avec de l'eau n'ont pas amélioré de façon significatif la température de la flamme ni l'économie, au contraire l'injection d'eau dans le brûleur n'est pas avantageuse, bien que je n'ai pas insisté sur une longue expérimentation. Je trouve que marcher avec n'importe quelle huile et faire fondre un fil de cuivre dans la flamme c'est déjà satisfaisant.
5/ Combien économise t'on de litres de fuel avec ce système ?
Si fonction avec du mazout léger l'économie est n'est pas très grande 10 a 15% je n'ai pas pousser les mesures, par contre avec des huiles lourdes la cela consomme très peu , jusqu'à 50% par rapport au fuel domestique, bien que ces mesures ne sont pas très scientifiques le volume de chaleur dégagé n'est pas mesuré.
seule la consommation à l'heure est tenue en compte, sur le modèle d'écrit dans le plan, la consommation d'huile est de 1,2 a 1,4 litres à l'heure et cela chauffe facilement une maison sous un climat très rude (-25°c).
1/ Quelle est la dimension de chambre de vaporisation, ou est elle placer et quelle doit être la température ?
La chambre de vaporisation est très petite cela se passe au ras de la boule dans le T, il est préférable que cette partie soit a l'extérieur de la chambre de combustion, elle doit être chaude mais pas de trop. L'huile qui coule sur la boule ne doit pas excéder les 100°c, à un température de 80 a 90 c fonctionne bien. Si tu utilise des huiles très épaisse sans émulsion d'eau la température peut être plus haute jusqu'à 140°c bien que ce n'est pas avantageux
La dimension de la chambre de combustion doit avoir un certain volume en fonction de la taille du brûleur et du débit des gaz qui sort pour pouvoir étirer la flamme donc un minimum a respecter mais cela peut marcher dans une chambre relativement petite.
2/ Le réacteur peut-il être simplifier, car comme il est dans la chaudière, le tube extérieur qui sert a canaliser les gaz chaud pour réchauffer le tube réacteur et son noyau n'à plus raison d'être puisque directement au contact de la flamme ?
Ce n'est pas un réacteur c'est un brûleur a boule. La flamme est concentré dans un tube sur une courte distance. Il n'y pas de noyau dans le tube, ce tube peu être mis dans le four (preferable) car il devient rouge il doit être rouge pour entretenir une flamme chaude et concentré.
3/ Par contre les gaz résultants ne s'enflamment t'ils pas dès la sortie, vu la température qui règne dans le foyer de la chaudière ?
La flamme démarre à la sortie de la boule elle est bleu avec de l'huile c'est le meilleur de l'huile qui se vaporise. la première et cette flamme bleu, le plus lourd se vaporise dans la flamme et fait une
flamme plus jaune. voir même blanche si tu brûle du mazout a bateau goudron liquide le dernier résidu du pétrole.
Ce n'est pas un réacteur ni un gicleur c'est une boule creuse. l'huile coule dessus passe devant une fente et elle est pulvérisé par un jet d'air.
4/ Peut-on parallèlement injecter de l'eau par le même chemin et séparément du fuel ou doit on le mélanger avant l'injecteur ?
Tous les tests avec de l'eau n'ont pas amélioré de façon significatif la température de la flamme ni l'économie, au contraire l'injection d'eau dans le brûleur n'est pas avantageuse, bien que je n'ai pas insisté sur une longue expérimentation. Je trouve que marcher avec n'importe quelle huile et faire fondre un fil de cuivre dans la flamme c'est déjà satisfaisant.
5/ Combien économise t'on de litres de fuel avec ce système ?
Si fonction avec du mazout léger l'économie est n'est pas très grande 10 a 15% je n'ai pas pousser les mesures, par contre avec des huiles lourdes la cela consomme très peu , jusqu'à 50% par rapport au fuel domestique, bien que ces mesures ne sont pas très scientifiques le volume de chaleur dégagé n'est pas mesuré.
seule la consommation à l'heure est tenue en compte, sur le modèle d'écrit dans le plan, la consommation d'huile est de 1,2 a 1,4 litres à l'heure et cela chauffe facilement une maison sous un climat très rude (-25°c).
Oh mets de l'huileux !
http://www.nrjrealiste.fr
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oui, commetnaire pris sur http://kidlogis.com/pmc/forums : je fais mon boulot !
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salutsebourlon a écrit :des que tu as des nouvelles post car j ai ce projet depuis le printemps mais mon pote ne m a toujours pas fait cette boule.
pour la boule, il y a une solution plus simple mais je n'ai pas testé.
http://patan.crimsonblog.com/inventos.htm
cordialement
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bonjourbilou840 a écrit :Cette histoire de bruleur n'avance pas et ce n'est pas une bonne voie de recherche! trop de paramètres couplés qui nécessitent une analyse poussée hors de la portée du très très bon bricoleur
ce n'est pas sûr, il y a des exemples de réalisation amateur sur internet .
le principe est simple, (il a fait l'objet d'un brevet par un certain Babington en 1969 mais il est maintenant dans le domaine public)
c'est vrai que la réalisation l'est moins car pour un fonctionement stable il faut trouver le bon équilibre entre la pression d'air et le débit d'huile ; mais celà ne doit pas être plus compliqué que dans un bruleur à fuel.
d'après ce que j'ai lu il est plus préférable pour un bricoleur d'utiliser une boule relativement grosse car le réglage du débit d'huile est moins pointu. Le ou les trous doivent avoir un diamètre de 0.010 inch (soit 1/4 de mm) et la pression vers 30 PSI.
bon courage à tous !
cordialement
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30 PSI ça doit consommer de l'électricité nucléaire ça non ?
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Brûleur à HVB
Les brûleurs sont des brûleurs à fuel lourd.
Les paramètres
- 20 - 25 Bar
- 70 ° par un réchauffeur sur la ligne de gicleur.
Les paramètres
- 20 - 25 Bar
- 70 ° par un réchauffeur sur la ligne de gicleur.
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- Motivé
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- Localisation : sud de l'Aube
- Brûleurs à pulvérisation pneumatique
Le principe du brûleur à pulvérisation pneumatique consiste à provoquer l'éclatement de la veine de liquide par une veine d'air dans une chambre de pulvérisation (Fig. 51).
Le fuel arrive, sous faible pression, dans une chambre de forme torique. Sous l'effet de la dépression régnant dans cette chambre, le fuel se répartit sur toute la paroi en un film mince qui est éclaté par le flux d'air à sa sortie de la chambre.
La pulvérisation est plus fine que celle obtenue avec la pulvérisation mécanique, ce qui assure une meilleure combustion.
L'arrivée du fuel, fourni sous faible pression par une pompe ou un réservoir en charge, est dosée par un régulateur à double action, commandé par la pression de l'air (Fig. 51).
Deux vannes pneumatiques sont placées sur le circuit. La première coupe l'arrivée du fuel lorsque la pression de l'air est trop faible. La seconde, placée sur une dérivation de la conduite principale, règle le débit du fuel en fonction de la température par l'intermédiaire d'un thermostat à fuite d'air. Sous l'effet de la température, ce thermostat démasque plus ou moins une fuite d'air faisant varier la pression de la membrane d'une vanne pneumatique, donc le débit de fuel.
L'amplitude de la régulation est très importante, le débit de fuel pouvant varier de 1 à 3, voire de 1 à 5.
La pulvérisation pneumatique a l'avantage d'être assez simple, de permettre une régulation continue du débit de fuel et de s'arrêter immédiatement à l'arrêt du compresseur.
Fig. 51: Brûleur à pulvérisation pneumatique. (Doc. B.P.)
[img]http://www.hostimage.org/img/78402.jpg[/img]
Quel que soit le type de brûleur, tous sont équipés d'un dispositif d'allumage par électrodes entre lesquelles jaillit une étincelle produite par un transformateur qui fournit une tension de 10 000 volts environ.
Tous sont également munis d'un dispositif de sécurité qui arrête le brûleur en cas de non-allumage de la flamme. Ce dispositif à cellule photorésistante provoque l'arrêt du moteur et le déclenchement d'un signal lumineux ou sonore. Le moteur doit être réenclenché par l'opérateur.
NB: Brûleur à fuel lourd.
Le principe est le même que pour les brûleurs à fuel léger, le combustible est mis sous une pression de 20 bars par la pompe qui l'envoie dans une chambre d'atomisation. Pour que la pulvérisation soit correcte, il est nécessaire de chauffer ce fuel à 120° C pour le rendre plus fluide. Il faut également rappeler que le fuel lourd doit être stocké à environ 60° C pour éviter qu'il ne se fige.
Le principe du brûleur à pulvérisation pneumatique consiste à provoquer l'éclatement de la veine de liquide par une veine d'air dans une chambre de pulvérisation (Fig. 51).
Le fuel arrive, sous faible pression, dans une chambre de forme torique. Sous l'effet de la dépression régnant dans cette chambre, le fuel se répartit sur toute la paroi en un film mince qui est éclaté par le flux d'air à sa sortie de la chambre.
La pulvérisation est plus fine que celle obtenue avec la pulvérisation mécanique, ce qui assure une meilleure combustion.
L'arrivée du fuel, fourni sous faible pression par une pompe ou un réservoir en charge, est dosée par un régulateur à double action, commandé par la pression de l'air (Fig. 51).
Deux vannes pneumatiques sont placées sur le circuit. La première coupe l'arrivée du fuel lorsque la pression de l'air est trop faible. La seconde, placée sur une dérivation de la conduite principale, règle le débit du fuel en fonction de la température par l'intermédiaire d'un thermostat à fuite d'air. Sous l'effet de la température, ce thermostat démasque plus ou moins une fuite d'air faisant varier la pression de la membrane d'une vanne pneumatique, donc le débit de fuel.
L'amplitude de la régulation est très importante, le débit de fuel pouvant varier de 1 à 3, voire de 1 à 5.
La pulvérisation pneumatique a l'avantage d'être assez simple, de permettre une régulation continue du débit de fuel et de s'arrêter immédiatement à l'arrêt du compresseur.
Fig. 51: Brûleur à pulvérisation pneumatique. (Doc. B.P.)
[img]http://www.hostimage.org/img/78402.jpg[/img]
Quel que soit le type de brûleur, tous sont équipés d'un dispositif d'allumage par électrodes entre lesquelles jaillit une étincelle produite par un transformateur qui fournit une tension de 10 000 volts environ.
Tous sont également munis d'un dispositif de sécurité qui arrête le brûleur en cas de non-allumage de la flamme. Ce dispositif à cellule photorésistante provoque l'arrêt du moteur et le déclenchement d'un signal lumineux ou sonore. Le moteur doit être réenclenché par l'opérateur.
NB: Brûleur à fuel lourd.
Le principe est le même que pour les brûleurs à fuel léger, le combustible est mis sous une pression de 20 bars par la pompe qui l'envoie dans une chambre d'atomisation. Pour que la pulvérisation soit correcte, il est nécessaire de chauffer ce fuel à 120° C pour le rendre plus fluide. Il faut également rappeler que le fuel lourd doit être stocké à environ 60° C pour éviter qu'il ne se fige.
106 Peugeot à 100% en été et 50% en hiver et xsara HDI 90 à 30%
serveur avec des dossiers sur les énergies renouvelables et l'huile carburant
ftp://lesrimbaudieres.dyndns.org
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